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Cerveau et système limbique du chien.

  • caudronaudrey
  • 9 janv. 2018
  • 2 min de lecture

Cette semaine nous aborderons le sujet de la « personnalité » du chien, et pour cela nous devons commencer par le fonctionnement de son cerveau mais aussi de son système limbique.

Qui est en réalité notre ami à quatre pattes ? Un simple animal, à considérer et traiter comme tel (en bien et en mal), ou un être doué de raison, juste différent de nous, mais pas pour autant inférieur ? L’usage d’un langage implique des facultés intellectuelles et une capacité d’instaurer des rapports interpersonnels (ou... intercanins, si l’on préfère) sans aucun doute réservées à des animaux très évolués.

Il faut partir du principe que le chien pense, « parle », éprouve des sentiments, le tout à sa manière, bien entendu. Certains pourraient reprocher le fait de se fonder sur des sensations affectives et non pas sur des preuves scientifiques : voila donc comment convaincre les sceptiques et voyons si (et comment) le chien raisonne.

Le cerveau du chien

Le système cérébral du chien comprend trois parties principales : - le cerveau proprement dit, qui régit l’apprentissage, les émotions ainsi que le comportement ; - le cervelet, qui contrôle les muscles et leurs mouvements ; - la moelle épinière, qui relie le cerveau au système nerveux. Dans la mesure où le cerveau humain se structure de la même manière, il semble difficile de réfuter les thèses selon lesquelles le chien dispose d’un centre de contrôle parfaitement efficace et apte à élaborer des raisonnements complexes.

Le système limbique du chien

Comme chez l’homme, le système limbique contrôle dans le cerveau la mémoire et le niveau d’intérêt. Bon nombre d’études, réalisées tant en laboratoire que par le biais de l’observation éthologique, ont établi que le chien utilise ses sens d’une manière légèrement différente de celle de l’homme. Tandis que nous avons normalement tendance (sans toujours y parvenir) à maintenir nos cinq sens simultanément ouverts, le chien sélectionne le sens principalement stimulé par une situation donnée, pendant que les autres se désensibilisent manifestement. La sélection initiale est induite par le système limbique, justement, qui régit le degré d’intérêt suscité par un stimulus déterminé. 


 
 
 

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